mercredi 24 décembre 2008

Dans la finance aussi c'est une question de vocabulaire

Les politiciens de tout bord et de tous les pays condamnent unanimement l'escroquerie générée par Bernard Madoff. Ils montrent aux yeux du public aveugle et crédule que Madoff est le pire escroc. 50 milliards de dollars, c'est effectivement très grave.

Mais qu'a-t-il fait, notre ennemi public n°1 pour en arriver là ? Réponse : la même chose que nos gouvernements, sauf que la France est sur une échelle de 1270 milliards d'euros et les Etats-Unis sur une échelle de 10.600 milliards d'euros.

Quelqu'un qui avait beaucoup de qualités disait un jour : "Tu vois la paille dans l'œil de ton voisin mais pas la poutre qui est dans le tien".

Tout commentaire supplémentaire me semble superflu.

Tête de l'art

mardi 23 décembre 2008

C'est une question de vocabulaire (et de temps)

Les politiciens de tous bords sont unanimes : l'incendie devant la porte de la mosquée de Saint-Priest est un crime, pour quelques livres prêchant la haine (voir mon article ici) brûlés. Toute proportion gardée, lorsque des malveillants ont incendié ma haie, tuant trois arbustes d'une même essence, je dois pouvoir être en mesure de parler de génocide. Paradoxalement, aucun politicien ne s'en est ému. Les réactions excessives des musulmans, par exemple lors des caricatures du prophète, déteignent sur nos hommes politiques. Il s'agit tout au plus d'un acte de malveillance ; certainement pas d'un crime. Acte de malveillance malvenu toutefois, puisqu'il ne permet pas de montrer le vrai visage de l'islam, mais acte désespéré d'une population qui n'en peut plus.

Des actes de malveillance autrement plus criminels sont commis chaque jour, par des délinquants en bandes organisées, criant "Allah-ou-akbar" en accomplissant leurs délits. Ce fait est incontestable. (Il est cependant capital de noter deux points :

1. d'autres délits sont commis par une catégorie de population ne revendiquant pas son appartenance à cette religion

2. tous les musulmans ne sont pas des délinquants, loin s'en faut)

Associer ces délits à la religion musulmane est, nous dit-on, de l'islamophobie ; mais les taire est de la désinformation et les nier est du négationnisme.

Si les politiciens savaient compter, ils comprendraient que les opposants à l'islam (les vrais, ceux qui savent prouver leurs accusations ; pas les potiches invitées sur les plateaux télés et jetées en pâture à des islamistes déguisés en "bon chic bon genre") sont plus nombreux que les musulmans en France. En conséquence, s'ils veulent être élus la prochaine fois, il faudra bien qu'ils tiennent compte de notre avis sur la question. Nous avons intérêt à ce qu'ils comprennent vite, car bientôt, grâce au taux de natalité favorisé par les subventions généreusement accordées, le rapport de force sera inversé et nous serons alors comme dans toutes les républiques islamistes, régis par la charia et réduits à un statut de dhimmi. Il sera malheureusement trop tard.

Tête de l'art

vendredi 12 décembre 2008

Les droits et les devoirs de l'homme

Il devient fastidieux de répéter sans cesse la même chose. Chaque jour qui passe nous montre un évènement témoignant de la violence, du racisme, du sadisme des extrémistes musulmans. Chaque jour des exactions, des "actes d'incivilités" sont commis par des "jeunes" des banlieues. Ces crimes sont dénoncés d'une manière très factuelle par de bons sites qui servent bénévolement l'intérêt général. L'action de ces sites est indispensable pour tenter de faire avancer les idées. Il serait superflu d'en rajouter, d'autant que nos attaques génèrent leurs ripostes.

Avec un peu de recul, il me semble opportun d'aborder le sujet d'une manière un peu différente, sur trois exemples incontestables :

1. La convocation de l'ambassadeur d'Iran par les Affaires Etrangères iraniennes pour protester contre des propos de Nicolas Sarkozy sur Ahmadinejad. Qui est le plus violent : celui qui refuse d'adresser la parole à l'autre ou celui qui veut détruire un pays ? Pourquoi laisse-t-on la mauvaise foi d'un monstre s'exprimer ?

2. Les contradictions à l'école : Travail individuel, ne pas copier sur son voisin, chaque élève est évalué sur ses compétences propres. Mais lorsqu'il y a chahut dans la classe, les enseignants préfèrent punir toute la classe plutôt que punir seulement l'(es) élève(s) responsable(s). Sans doute pour apprendre la solidarité aux bons élèves et pour ne pas être traités de racistes. L'impunité encourage la délinquance et le cercle vicieux est entamé. Serait-ce une faille de la démocratie ?

3. Tous les jours des indésirables sont refoulés, pour accéder à un logement, à un centre de vacances, à l'entrée d'une boîte de nuit. Est-ce par racisme, comme voudraient nous le faire croire les associations gauchistes ? Pourquoi cacher la vérité ? Qui a envie de voir son appartement saccagé, sa boîte de nuit pillée ? Doit-on subir les méfaits d'une population indésirable ? Est-ce raciste de tenter de protéger ses biens ?

Les droits de l'homme, d'accord ; mais pourquoi ne parle-t-on jamais de ses devoirs ?

Tête de l'art