Contrairement aux détracteurs novices qui semblent découvrir le problème, je suis personnellement enchanté de la décision de justice qui a annulé le mariage d’un couple musulman dont la femme n’était pas vierge. Très astucieusement, le plaignant a invoqué le mensonge et non le fait. Il est fort à parier que si la fille avait avoué sa non-virginité, il ne l’aurait pas épousée !
En effet, cette affaire présente plusieurs points positifs et encourageants :
1. le tapage médiatique actuel fait prendre conscience à nos concitoyens de l’archaïsme et de la non-adaptation de la culture musulmane dans notre société. Les musulmans sont maintenant montrés du doigt par ceux-là même qui les défendaient hier
2. chacun pourra noter une contradiction flagrante chez les musulmans : ils ne veulent épouser que des vierges mais QUI viole les jeunes filles lors de « tournantes » dans les cités ?
3. le soir de la nuit de noces, il y a trois catégories de femmes : les vierges, les non-vierges et les recousues. De nos jours, la première catégorie est en voie de disparition, d’une part à cause de l’évolution des mœurs, d’autre part suite aux exactions d’une certaine catégorie de la population (voir le paragraphe précédent). Malgré la lenteur de leur esprit, les musulmans comprendront rapidement qu’une fille vierge le soir de la nuit de noces est presque toujours « recousue ». Le tribunal prononcera alors l’annulation du mariage. S’il n’y a plus mariage, il n’y aura plus procréation. Et en conséquence, arrêt de la prolifération.
Nous sommes enfin sur la bonne voie.