mardi 28 octobre 2008

Un racisme ciblé et unilatéral

Il est juste et pertinent de dénoncer le racisme chaque fois que l'occasion se présente.

Les médias dénoncent copieusement le racisme des sales blancs colonisateurs ; mais lorsque la population noire des Etats-Unis se mobilise pour voter Obama sur le critère de la couleur de peau, ça ne semble choquer personne. Que diraient nos médias et nos associations dites antiracistes si les supporters de Mac Cain lançaient comme slogan :"Votez pour un blanc" ? Blanc ou noir, j'ai déjà eu l'occasion de traiter le sujet ici, ici et ici.

Dans l'esprit des gens qui ont pour mission de nous informer, le racisme est donc ciblé et unilatéral. Bravo Messieurs les trompeurs, votre message est passé et vous avez réussi à endormir les français.

Vont-ils enfin se réveiller, les français de souche, le jour où un maghrébin candidat à la Présidence de la République Française sera en passe d'être élu ?

Tête de l'art

jeudi 16 octobre 2008

Marseillaise sifflée : Maghreb impliqué

Une fois de plus, un pays du Maghreb s’est fait remarquer parce que des supporters de l’équipe de foot tunisienne ont sifflé notre hymne national, hier au stade de France, avant la rencontre «amicale» avec la France. La réaction des politiques, de droite comme de gauche, a été pour une fois unanime. Tous ont condamné cette attitude. Le Président de la République a convoqué les responsables sportifs et a exigé que des mesures soient prises.

Cette situation appelle plusieurs commentaires :

1. Comme à l’accoutumée devant chaque problème, notre président semble tomber des nues (ce qui est effectivement un risque quand on vit la tête dans les nuages) et découvrir le malaise. Les français qui parlent aux français peuvent lui apporter des informations pertinentes sur les raisons de l’échec de l’intégration d’une partie de la population maghrébine en France et lui ouvrir les yeux sur ses perspectives d’évolution. A votre disposition, Monsieur le Président, pour une formation accélérée. Déjà une erreur d’appréciation sur la proportion : Contrairement à ce que vous affirmez devant les médias, vous avez la preuve que ce n’est pas une infime partie de la population immigrée qui est en cause, mais un stade quasi entier.

2. Si un tunisien (ou maghrébin en général) qui a eu l’honneur de recevoir la nationalité française n’est pas content de son pays d’accueil, pourquoi tente-il de faire venir toute sa tribu ? Je lui propose plutôt de retourner dans son pays d’origine, pour voir si l’herbe y est plus verte.

3. Les médias nous ont dit que les spectateurs dans le stade étaient à majorité d’origine tunisienne ; ce qui montre que certaines personnes ont les moyens de s’offrir des billets et le temps d’assister au match, contrairement à certains français de souche qui pendant ce temps travaillent pour financer les subventions attribuées à ceux qui crachent dans la soupe

4. La palme de l’hypocrisie revient à Mouloud Aounit avec son commentaire : «c’est parce que la France les intègre mal». Mon article précédent sur Luc Besson montrera le contraire. Et si Monsieur Aounit avait été comme moi dans la situation de recruter du personnel dans une zone sensible, il se serait rendu compte du manque de motivation, du manque de reconnaissance et du manque de civisme de bon nombre de ses congénères. Ce n’est pas du racisme, c’est une vérité ; sinon pourquoi des aides spécifiques auraient-elles été créées dans ces zones à risques ?

5. La décision de ne pas faire jouer le match en cas de récidive comporte un gros risque de débordement ; et les passionnés pacifiques, maghrébins inclus – si, si, il y en a ; j’en connais ! - seraient injustement privés du spectacle. Quand à organiser le match en province, soyons sérieux : la délinquance n’est pas spécifique à la région parisienne. De plus, les profiteurs auront certainement le temps et les moyens financiers pour faire le voyage. Il faut traiter le mal à la source au lieu de culpabiliser sur notre passé colonial qui, même s’il était loin d’être parfait, a permis à ces pays de sortir de la barbarie.

Avec l’affaire de la banderole, les bagarres entre supporters, les huées racistes proférées contre les joueurs de couleur et les sifflets de la Marseillaise par les maghrébins et les bastiais (en 2002 lors de la finale de la coupe de France) le foot deviendrait-il un sport de voyous ?

Tête de l'art

lundi 13 octobre 2008

Luc Besson victime de sa générosité

Pure People nous livre l’information ici.

Luc Besson nous a fait rêver avec Le Grand Bleu, fait trembler avec le cinquième élément, passionné avec Arthur et les Minimoys. Excellent dans (presque) tous les registres cinématographiques, il m’a cependant beaucoup déçu sur un domaine : l’intérêt positif qu’il porte à une catégorie d’individus qui ne le mérite pas. Individus qui le lui rendent bien mal, puisque sa collaboration avec les «jeunes» de la cité des Bosquets, à Montfermeil, lors du tournage de son dernier film «From Paris, with love» a été brutalement interrompue. En effet, ces jeunes gens ont estimé qu’un salaire de 120€ par jour est indécent. Il est à parier que trafic de drogue et autres activités illicites leur rapportent davantage. Et pour faire bien couleur locale, plusieurs voitures de la production du film ont été incendiées, suivant le mode de communication habituel.

Devant un tel comportement, comment défendre et soutenir honorablement cette population ? Je me permets de qualifier d’imbéciles les actions visant à aider et financer ces malfaisants. Des associations complaisantes et complices dilapident dans un puits sans fond l’argent du contribuable pour financer des infrastructures qui sitôt installées sont dégradées ou détruites.

Face à cette délinquance, je propose une autre solution : les sanctions. Cette dernière méthode, largement en vogue lors de la génération «coups de pied au cul» à laquelle j’appartiens, avait au moins le mérite de former des gens honnêtes et droits. Bien des jeunes de la génération actuelle en manquent cruellement.

Tête de l'art

dimanche 12 octobre 2008

Crise financière ou confiance ?

La crise financière, générée par l’irresponsabilité et l’appât du gain d’une minorité de nantis a conduit à de lourdes pertes chez ceux qui, suspicieux de l’efficacité des caisses de retraites, avaient décidé de placer leurs économies pour tenter de s’assurer une retraite convenable. Les banques, elles-mêmes victimes de ce cataclysme, ont leur part de responsabilité : N’ont-elles pas poussé, à coups de renforts publicitaires, à la surconsommation du crédit ? Elles se sont bien honteusement engraissées sur ce coup-là ! Et aujourd’hui dans la tourmente, elles appellent à l’aident ceux qu’elles ont dépouillés. Aux Etats-Unis plus qu’ailleurs, les gens se sont endettés au point de mettre en péril les banques, contaminant l’ensemble des pays industrialisés. Ah, il est beau le modèle américain prôné par Sarkozy !

Dans nos institutions, tout est basé sur la confiance. Aujourd’hui cette confiance est perdue. Ce n’est pas la première fois. John Law en a été la première victime, quand son système mis en place en 1716 a explosé quatre ans plus tard.

Alors que tous les pays sont massivement endettés, comment avoir confiance encore aujourd’hui dans une feuille de papier sur laquelle sont inscrits un chiffre et une devise ? Et si la banqueroute de 1720 se reproduisait ? Oh ! Elle n’a pas fait que des victimes. De même aujourd’hui certains privilégiés en profiteraient pour s’enrichir ; mais pas ceux qui travaillent (plus pour gagner moins), ni ceux qui se lèvent tôt. Messieurs les politiciens, de connivence de droite comme de gauche, vos retraites et vos privilèges seront conservés, et certainement même amplifiés ; alors que vous êtes les premiers responsables de la crise. Vous appauvrissez le pays, vous ponctionnez les classes moyennes qui disparaissent et augmentent les rangs des classes pauvres. De plus, vous ne faites rien pour protéger le pays : invasion islamiste, délinquance et insécurité progressent, de manière inversement proportionnelle au pouvoir d’achat. Vous profitez du manque de discernement des français pour les spolier. Les partis politiques ne sont que des masques qui cachent cette sinistre vérité.

Alors vers quel modèle se tourner ? La Chine ? Elle attire, elle fait rêver superficiellement mais les conditions de vie y sont bien trop aléatoires : on empoisonne les enfants avec des produits laitiers contaminés à la mélamine ; on se soucie bien peu des droits de l’homme et de l’écologie ; on ne tolère pas la critique ; on exploite les salariés avec des cadences infernales et un salaire de misère. C’est cela que Marie-Georges Buffet appelle «une force de progrès».

Les êtres humains ne peuvent-ils pas vivre altruistes en profitant de la beauté de la nature et en respectant les peuples qui ne pensent pas comme eux ? Malgré la civilisation, leur comportement reste bestial et égoïste.

Tête de l'art

samedi 4 octobre 2008

Il faut chercher les délinquants là où ils se trouvent

Voir l’article ici.

Un fonctionnaire de la sous-direction de l'Information Générale (SDIG, ex-Renseignements Généraux) a demandé par mail au Conseil Régional Rhône-Alpes si son personnel comportait des agents de confession autre que chrétienne. Les musulmans se sont sentis offensés et ont manifesté leur désapprobation. Tous les dhimmis régionaux, Jean-Jack Queyranne en tête, ont affiché leur solidarité et le fonctionnaire a été sanctionné.

Cette indignation m’interpelle : Pourquoi la religion d’une personne, de surcroît membre d’un secteur d’Etat, devrait être cachée ? Pourquoi seuls les musulmans ont réagi ; et pas les juifs, les bouddhistes, etc. ? Sont-ils conscients d’être une population à risque ?

Faut-il taire aussi que lorsqu’on cherche un délinquant, on a plus de chance de le trouver aux Minguettes ou au Mas du Taureau que dans l’ouest lyonnais ? Quoi de plus normal que de chercher les islamistes dans la population musulmane ?

Quand appellera-t-on un chat un chat et quand arrêtera-ton de jouer la politique de l’autruche ? Ce ne sont pas les collabos élus du gouvernement qui montrent l’exemple. A ce rythme là, le problème n’est pas près d’être résolu et les islamistes, légers dérivés des musulmans, peuvent continuer en toute impunité leurs exactions.

Tête de l’art