Nous avons l’exemple des Etats-Unis où un candidat à la présidence est issu de la «minorité visible». A grand renfort de publicité, les médias tentent d’imposer ce choix.
En France, compte tenu de l’expansion démographique, nous aurons certainement à la prochaine génération un président issu de la minorité actuelle. Beaucoup moins productive que les noirs américains (voir mon article précédent) sinon dans la reproduction de sa propre espèce, nous connaîtrons alors, à l’instar de tous les pays musulmans, les plaisirs de la charia, de l’intolérance, de la polygamie, des femmes voilées et battues. Beaucoup de Français de souche qui les soutiennent aujourd’hui pleureront alors sur leur sort, mais il sera trop tard.
Tête de l'art
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