lundi 31 mars 2008

Fitna, le court-métrage de Geert Wilders

Attendu par les uns, redouté par les autres, Fitna est enfin diffusé et disponible partout sur Internet, par exemple ici en version sous-titrée français.

Certains lui reprochent d'être violent. Ce n'est pas le film qui est violent, mais le sujet qu'il traite. L'auteur montre des faits, rien que des faits. Sont-ce les bouddhistes qui ont jeté les avions sur les tours du World Trade Center ? Sont-ce les Juifs qui ont perpétré l'attentat de Madrid ? Sont-ce les Chrétiens qui lapident les femmes adultères et les homosexuels ?

Certes, les Chrétiens ont eu eux aussi leur part de responsabilité dans les épisodes peu glorieux de leur histoire. Ces actes regrettables datant de plusieurs siècles, je constate que la civilisation musulmane a entre 500 et 1000 ans de retard sur la civilisation chrétienne.

J'entends déjà : "mais ces actions isolées sont l'œuvre des intégristes !" Qui a élu ces intégristes ? Pourquoi les musulmans modérés (s'ils existent) ne protestent-ils pas et reconnaissent pas, à l'instar du Pape, les exactions commises ? Faudra-t-il attendre 500 ou 1000 ans pour cela ? Je crois que je n'aurai pas la patience.

La ligue arabe condamne le film et les ministres des affaires étrangères européens baissent leur pantalon, rejetant l'idée d'associer l'islam à la violence. A ce stade, une première question se pose : qui est violent ? Celui qui dit que le coran appelle à tuer les incroyants ? Ou celui qui applique cette règle ? Dans tous les pays du Moyen-Orient, les Chrétiens sont agressés, massacrés par les musulmans. A quand en Europe ?

Pour éviter d'en arriver là, dénonçons le danger que représente l'islam et l'hypocrisie de nos politiques. Participons à l'action SITA proposée par le blog du cochon hallal ici.

Charles Martel, à l'aide !

Tête de l'art

lundi 24 mars 2008

L'art de tourner autour du pot

Devant une situation délicate, on connaît l'habileté de nos hommes politiques de tout bord pour éluder la question. Le conflit tibétain en est un exemple. La Chine mérite-telle d'être ménagée à ce point ? Certainement pas, à moins de défendre quelques intérêts personnels dans des sociétés françaises qui s'installent là-bas afin d'éviter la pression fiscale insupportable en France. Ceux-là même qui nous promettent une progression dans l'économie participeraient-ils à la fuite du travail vers les nouvelles puissances mondiales ? Sujet qu'il est politiquement incorrect d'aborder, sinon du bout des lèvres.

Dans le domaine juridique, la même langue de bois est de rigueur. L'euthanasie est un sujet qui présente de gros risques et un enjeu électoral important. Donner la mort à un malade est contraire à la déontologie et au serment d'Hippocrate ; mais laisser souffrir quelqu'un qui n'a aucune chance de guérison quand la médecine s'avère impuissante pour soulager la douleur, n'est-ce pas du sadisme ? Entre ces deux extrémités, il est parfaitement concevable de trouver un aménagement pour des cas ponctuels bien spécifiques ; aménagements qui sont d'ailleurs largement appliqués dans la vie courante, au mépris d'une loi mal adaptée. La demande d'autopsie sur le corps de Chantal Sebire met en lumière cette hypocrisie. Elle démontre un manque de respect de la souffrance d'un malade et un mépris total du deuil d'une famille. Les magistrats se plaignent d'avoir trop de boulot ; et là, pardon de devenir grossier, mais ils enculent les mouches ! Ils seraient bien plus utiles à la société s'ils faisaient leur devoir, c'est-à-dire prendre des sanctions plus sévères contre les délinquants, comme le demande bien souvent le ministère public. La dichotomie entre magistrature et ministère de la justice est malsaine.

La différence entre diplomatie et hypocrisie devient de plus en plus ténue, la deuxième prenant largement le pas sur la première. Croire un homme politique, c'est croire au père Noël.

Tête de l'art

mardi 18 mars 2008

Plus de 50% des Français rejettent les politiciens

Les résultats des élections municipales et cantonales suscitent, comme à l'accoutumée, beaucoup de commentaires de la part des dinosaures. Certains y voient une déferlante rose désavouant le parti au pouvoir, d'autres y voient des choix exprimés au niveau local n'ayant rien à voir avec une sanction de la politique du gouvernement. Bla bla bla parfaitement inutile.

Le plus important, dans ces résultats, est le pourcentage obtenu par ceux qui ont refusé de choisir. Les abstentionnistes et les suffrages non exprimés représentent la majorité absolue dans notre pays. Donc c'est vrai, les Français se sont clairement exprimés : ni pour un soutien au gouvernement actuel, ni pour un retour de la gauche. Comment ose-ton :

- dénigrer un gouvernement qui fait du pouvoir d'achat son thème principal, même si le seul pouvoir d'achat qui a augmenté, c'est celui des patrons du CAC 40 ?

- s'opposer à la politique spectacle, avec paillettes, strass et vedette du show-business ?

- médire sur un gouvernement qui n'a pas pris les mesures nécessaires lors de la contamination lors des transfusions sanguines ?

- critiquer l'invasion massive d'indésirables semant le trouble, l'insécurité et la violence dans nos cités ?

Et bien, si, on ose. Et j'en suis ravi. Les Français sont conscients que les politiciens les prennent pour des imbéciles ; alors ils se sont exprimés de manière claire. Politicards de gauche comme de droite, cessez vos discours stériles et vos critiques réciproques ; car vous êtes sur le même niveau d'inefficacité. Laissez travailler ceux qui savent ou mettez-vous au travail au service de la France au lieu de servir vos propres intérêts. Ca vous changera un peu, et ça nous fera peut-être du bien.

Trouvez-moi un homme politique digne de confiance, et je vote pour lui. En attendant, je ne suis pas près d'user ma carte d'électeur.

Tête de l'art

dimanche 16 mars 2008

L'histoire est un éternel recommencement

Un régime autoritaire, bafouant les droits de l'homme, imposant sa dictature, voulant dominer le monde et méprisant ses voisins, dans un pays qui va organiser les jeux olympiques, c'est du déjà vu. A l'instar de l'Allemagne en 1936, la Chine semble prendre le même chemin cette année. Mais les enjeux financiers et les retombées économiques sont tels qu'aucun responsable n'aura le courage de dire : "stop, arrêtez !" Les médias et les politiques ferment les yeux sur les massacres au Tibet, comme ils le font sur les alliances de la Chine avec les musulmans intégristes. Faudra-t-il une troisième guerre mondiale pour que les gens comprennent enfin la ligne de conduite chinoise ?

En 1936, je suppose que comme aujourd'hui, seuls de petits groupes d'"illuminés" avait compris le danger que représentaient les nazis. Et les "bons penseurs" de l'époque, FUTUR gouvernement de Vichy et gestapo inclus devaient lutter contre ces illuminés, comme les "bons penseurs" de notre époque écrasent ceux qui ont compris que l'islam représente un danger pour l'humanité toute entière.

Une autre histoire qui se répète : plusieurs pays s'engagent dans une course effrénée pour construire la plus haute tour. Après la Burj Dubaï et parmi les projets, la Bionic Tower à Shanghai et le Mile High Tower à Djeddah culmineront respectivement à 1228m et 1600m. Où quand les besoins et la logique cèdent la place au prestige. La Tour de Babel, en son temps, mythe ou réalité, a connu une fin des plus sinistres. Quand au nazisme, je pense aux millions de morts que ces folies ont engendrés pour des considérations inhumaines. L'histoire étant un éternel recommencement, je crains le pire.

Tête de l'art

mercredi 12 mars 2008

L'ignorance des politiciens en géométrie

J'ai appris en cours de géométrie à l'école que le centre est un point unique, même pas une petite surface pour y poser son pied. En politique, contrairement à ce principe, non seulement le centre est une zone qui accueille un parti tout entier, mais en plus cette zone est mobile, pouvant se déplacer allégrement tantôt à droite, tantôt à gauche. C'est sans doute ce qu'on appelle la géométrie variable. Euclide doit se retourner dans sa tombe !

Les alliances ne se font pas en fonction des valeurs (si c'était le cas, l'alliance aurait dû se faire bien avant) mais en fonction de l'opportunité d'une élection. Ce qui démontre bien si besoin était qu'un homme politique est prêt à s'allier avec n'importe qui pourvu qu'il soit élu, au mépris des idées qu'il défend devant ses électeurs et de ses électeurs eux-mêmes. Les appels du pied de la part de l'UMP et du PS au Modem nous rappellent cette hypocrisie. Quand au centre lui-même, son leader joue les ballerines : tantôt à droite, tantôt à gauche. Lors des élections présidentielles, sur le bandeau en tête de son site Internet on pouvait apercevoir une femme voilée ; d'où sa volonté d'alliance avec le mouvement islamiste, à l'instar des collaborateurs qui lors de la guerre de 39-45 pactisaient avec l'envahisseur.

Comment faire confiance à un politicien ? Quel intérêt pour nous à voter dimanche prochain pour ceux qui défendent un grand parti ?

Tête de l'art

vendredi 7 mars 2008

une vaste fumisterie

Je l'avais déjà dénoncé dans un article précédent à cause de son procédé folklorique , mais le gouvernement du Tchad poursuit ses habitudes ancestrales à se procurer de l'argent par tous les moyens. Il est prêt à accorder une grâce présidentielle à nos compatriotes pourvu que la "rançon" soit payée. Et ce petit jeu dure comme ça depuis des lustres avec nos différents gouvernements qui bien entendu ont toujours su être généreux . Et tout ça pour maintenir une présence militaire française dans une région du monde où je me demande bien en quoi elle est stratégique. C'est surtout une stratégie bien couteuse.

Décidément on aura toujours le don de se fourrer là où personne ne veut aller et tout ça pour faire croire que la France reste un grand pays , qu'elle peut influer sur le sort des populations africaines et que la paix est maintenue grâce à nous.

Le gaulois de lyon

jeudi 6 mars 2008

Fitna par Geert Wilders

A l'occasion de la prochaine sortie du film "Fitna", Roger Heurtebise publie sur "Riposte laïque" un excellent article intitulé "Il est minuit moins cinq" :

http://www.ripostelaique.com/Il-est-minuit-moins-cinq.html

Le problème étant objectivement posé, qui sont les responsables politiques qui le prendront en considération ? Probablement pas ceux, qui, de droite comme de gauche, dans l'espoir d'être élu maire, proposent la construction d'une mosquée sur leur commune.

Tête de l'art