Dans un faible sursaut de prise de conscience, les français se sont rendus compte qu'ils ont été bernés avec les promesses sarkoziennes. Le pouvoir d'achat a-t-il été amélioré ? La sécurité a-t-elle progressé ? L'islamisation est-elle freinée ? Le déficit du commerce extérieur se résorbe-t-il ? La France se redresse-t-elle ? Autant de questions, autant d'échecs. Paradoxalement, cette insatisfaction ne se traduit que par une baisse des opinions favorables de notre Président de la République dans les sondages. Que faire pour redresser la barre ? Et bien au lieu de prendre chacun de ces problèmes à bras le corps, il attire notre attention tantôt sur sa vie privée, tantôt sur un devoir de mémoire des enfants de la Shoah ; en somme rien qui puisse faire avancer la situation dans le bon sens. Et l'opinion publique de tomber dans le panneau ! Force est de constater que le français se préoccupe plus de la star académy que de la situation de la France. Sont-ce les médias qui nous hypnotisent à ce point ? N'ont-ils pas une responsabilité en nous anesthésiant ?
Bien évidemment, la Shoah ne doit pas sortir des mémoires, afin que l'on maintienne le "plus jamais ça !" Mais devant le bilan catastrophique de la France, était-ce ce qu'il y avait de mieux à faire ? La mer monte, il faudrait que les enfants arrêtent de jouer aux châteaux de sable, ceux qui ont encore les moyens de rêver aux châteaux en Espagne.
Tête de l'art
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