mardi 23 décembre 2008

C'est une question de vocabulaire (et de temps)

Les politiciens de tous bords sont unanimes : l'incendie devant la porte de la mosquée de Saint-Priest est un crime, pour quelques livres prêchant la haine (voir mon article ici) brûlés. Toute proportion gardée, lorsque des malveillants ont incendié ma haie, tuant trois arbustes d'une même essence, je dois pouvoir être en mesure de parler de génocide. Paradoxalement, aucun politicien ne s'en est ému. Les réactions excessives des musulmans, par exemple lors des caricatures du prophète, déteignent sur nos hommes politiques. Il s'agit tout au plus d'un acte de malveillance ; certainement pas d'un crime. Acte de malveillance malvenu toutefois, puisqu'il ne permet pas de montrer le vrai visage de l'islam, mais acte désespéré d'une population qui n'en peut plus.

Des actes de malveillance autrement plus criminels sont commis chaque jour, par des délinquants en bandes organisées, criant "Allah-ou-akbar" en accomplissant leurs délits. Ce fait est incontestable. (Il est cependant capital de noter deux points :

1. d'autres délits sont commis par une catégorie de population ne revendiquant pas son appartenance à cette religion

2. tous les musulmans ne sont pas des délinquants, loin s'en faut)

Associer ces délits à la religion musulmane est, nous dit-on, de l'islamophobie ; mais les taire est de la désinformation et les nier est du négationnisme.

Si les politiciens savaient compter, ils comprendraient que les opposants à l'islam (les vrais, ceux qui savent prouver leurs accusations ; pas les potiches invitées sur les plateaux télés et jetées en pâture à des islamistes déguisés en "bon chic bon genre") sont plus nombreux que les musulmans en France. En conséquence, s'ils veulent être élus la prochaine fois, il faudra bien qu'ils tiennent compte de notre avis sur la question. Nous avons intérêt à ce qu'ils comprennent vite, car bientôt, grâce au taux de natalité favorisé par les subventions généreusement accordées, le rapport de force sera inversé et nous serons alors comme dans toutes les républiques islamistes, régis par la charia et réduits à un statut de dhimmi. Il sera malheureusement trop tard.

Tête de l'art

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Pas la peine d'aller chercher les arguments dans la délinquance. Les musulmans refusent la mixité (à l'école, dans les piscines) contestent l'enseignement scientifique (loi de l'évolution) n'admettent pas que leurs femmes soient suivies par un gynécologue homme ; arguments suffisants pour démontrer l'incompatibilité de leur mode de vie avec notre monde civilisé.