samedi 2 février 2008

La gifle qui claque

Un professeur gifle un élève parce que ce dernier l'a traité de connard. Tous les regards accusateurs des médias se tournent vers le professeur. Bien entendu, dans une société évoluée, un élève a le droit de traiter son prof de connard et le prof a le devoir de se taire. Quel bel exemple pour l'éducation !

A force de semer le pacifisme, on récolte la violence. Il ne faut pas s'étonner de voir plus tard le comportement de certains "jeunes" traiter avec mépris la société et les biens publics ou privés. Personnellement, lorsque mon maître d'école me tapait sur le bout des doigts avec sa règle, mon père m'en remettait une couche le soir à la maison. Peu d'enfants de ma génération échappaient à ce traitement. Grâce à mon éducation "coup de pied au cul", je cède ma place à une personne âgée dans les transports en commun, je m'arrête quand un piéton traverse la rue sur un passage clouté et je dis bonjours lorsque j'entre dans une salle d'attente, pour ne citer que ces exemples. Je me sens complètement déphasé dans le monde actuel.

Par leur attitude complice, les médias acceptent, préfèrent et encouragent le comportement irrespectueux et agressif des enfants. Le monde a perdu ses valeurs morales et ils s'en réjouissent.

Le professeur mis en cause s'est tout simplement substitué au père qui a brillé par son absence et son incompétence. Il ne doit en conséquence pas être montré du doigt mais soutenu, défendu et remercié. L'objectif n'est pas de revenir aux punitions corporelles. Mais au vu des résultats obtenus avec le laxisme des armées de psychologues, médiateurs et autres négociateurs de banlieues, traiter le mal par la douceur n'est évidemment pas la bonne méthode.

Je tente d'élever mes enfants avec la moralité héritée de mes parents. Mais est-ce le bon choix ? Ne m'en voudront-ils pas le jour où ils constateront que le monde sourit davantage aux délinquants ?

Tête de l'art

mercredi 23 janvier 2008

Les caricatures de Mahomet

"Luttez contre l'islamophobie !", nous dit-on ; "ne critiquez pas l'islam, cette religion pacifique pleine d'amour qui prêche le rapprochement des peuples" ; "ne confondez pas musulmans et islamistes". Je veux bien vous croire, messieurs les porteurs de bonne parole. Mais je constate que lorsque les uns sont à juste titre montrés du doigt, critiqués, caricaturés, dénoncés dans un journal satirique qui ne fait que son boulot, les autres volent à leur secours en faisant appel d'une décision de justice non conforme à leurs souhaits. De là à faire l'amalgame entre les uns et les autres, il n'y a qu'un pas, faute d'argument convaincant des autres permettant de justifier une hypothétique différence d'idéologie entre les deux ; d'où les difficultés d'intégration que subissent même les plus modérés.

Faute d'une solution radicale, la résolution de ce fléau ne sera pas pour aujourd'hui. Et pourtant, lorsqu'un membre est atteint de la gangrène, la seule solution c'est de l'amputer.

Tête de l'art

dimanche 13 janvier 2008

Les assassins des français tués en Mauritanie

Les assassins ont été identifiés. Leur crime est justifié par le fanatisme, l'intolérance et le racisme. Dans la presse, pas un mot sur leur religion (habituelle chape de plomb des médias oblige) même si tout le monde a compris qu'il s'agit de musulmans. Qu'ils soient musulmans, chrétiens, juifs ou autre n'a pas d'importance quand au résultat et à la douleur de la famille des victimes. Mais le fait de tuer au nom d'une religion, quelle qu'elle soit, est inacceptable. Les coupables méritent une punition exemplaire et sans une protestation des autorités musulmane au plus haut niveau, cet assassinat justifierait l'interdiction de cette religion dans le monde entier.

Il convient de ne pas mettre tous les musulmans dans le même panier ; mais on peut une fois de plus remarquer que lorsqu'il s'agit d'attentats, à part quelques excités en Corse et au Pays Basque (bien que sévèrement condamnables eux aussi, ils n'interviennent pas au nom d'une religion) les assassinats sont perpétrés par des musulmans au nom de leur foi. Sur le territoire français, la complaisance du gouvernement, des médias et de la justice à l'égard de tout ce qu'ils appellent pudiquement "indélicatesses" ou "'incivilités" de la population musulmane atteint un niveau grotesque, nous sommes en plein racisme anti-français.

La réputation du français râleur a vécu ; désormais il faut compter avec le français endormi et masochiste.

Tête de l'art

lundi 7 janvier 2008

Le Paris-Dakar annulé

Nous y voilà ! Les islamistes menacent notre mode de vie, nos loisirs et nos institutions.

Dans l'hypothèse irréaliste où l'on admettrait que l'Afrique est une terre d'islam, il serait concevable et opportun de ne pas imposer nos traditions et nos exhibitions à un peuple qui ne le souhaite pas. Dans ce cas, restez chez vous Messieurs les Africains et résolvez vos problèmes vous-mêmes.

Mais si l'on admet que l'Afrique est un continent libre et qui de plus est généreusement aidé par les pays occidentaux pour participer à son développement, nous aurions apprécié au moins la reconnaissance du ventre.

Je constate assez peu de réactions dans les médias, plus préoccupés par le suspense du mariage présidentiel que par la menace de la liberté dans notre pays.

Mais quelle sera la réaction le jour où les islamistes nous interdiront la coupe du monde de foot ?

Allez, Messieurs les intégristes, un peu de cran, allez au bout de vos idées !

Je vous souhaite une bonne année.

Tête de l'art

jeudi 27 décembre 2007

L'injustice tchadienne

Comme il fallait s'y attendre, l'injustice tchadienne a condamné sévèrement les membres de l'association de l'arche de Zoé. Huit ans de travaux forcés et 60.000 euros par enfant, voilà ce qu'il leur en coûte. Ce n'est pas la première fois que des bénévoles, dans l'exercice de leur mission humanitaire, font les frais de leur générosité. Malgré ces évidences, il se trouve toujours des kamikazes pour aller se faire détrousser, violer et tuer dans des contrées de sauvages. L'analogie avec l'histoire du scorpion et de la grenouille est évidente. Malheureusement, au Tchad, le scorpion, après avoir piqué la grenouille, est bien vivant. Après avoir craché dans la soupe, il réclamera encore des aides et subventions aux méchants colonialistes venus piller les richesses et le savoir d'un peuple qui serait aujourd'hui une puissance mondiale si on n'était pas intervenu.

Faut-il être naïf pour se culpabiliser à ce point ! pour financer ce puits sans fond, pour défendre ces profiteurs et pour aller les secourir !

Tête de l'art

lundi 24 décembre 2007

le sapin de Noel de bethléem

Bon je veux bien avoir l'esprit large , mais pas au point de voir notre pays aller financer la décoration de l'arbre de Noel de bethléem. L'état Français me parait parfaitement incohérent; il se déclare laïque mais n'hésite pas soit à financer des mosquées soit à financer des décorations chrétiennes. Il faudrait savoir si en 1900 il y a bien eu séparation des pouvoirs entre l'état et le spirituel. C'est pas parce que de nos jours il y a émergence d'une autre religion du livre que l'on se doit d'être obligé de maitre la main au porte monnaie.
Je pense qu'il serait plus salutaire d'utiliser cet argent pour des besoins plus immédiats dans notre propre pays que de faire de la gesticulation diplomatique à coups d'euros.

le gaulois de lyon

dimanche 9 décembre 2007

Deux poids, deux mesures

Amnesty International et autres organisations de soi-disant défense des droits de l'homme demandent à Sarkozy de condamner les propos de Kadhafi : "il est normal que les faibles aient recours au terrorisme". Sage décision pleine de logique.

En parfaite contradiction avec elles-mêmes, ces organisations acceptent, défendent et soutiennent la religion musulmane qui procède à des exécutions, des lapidations, de la xénophobie envers les non musulmans en leur attribuant un statut inférieur. Alors qu'en parallèle, les occidentaux accueillent les musulmans en leur construisant des mosquées sur les fonds publics, payés par nos impôts et pratiquent la repentance pour des fautes qui n'ont pas été commises (voir mon sujet du 23 septembre sur les croisades).

La même contradiction est pour ceux qui condamnent les propos de Kadhafi et en même temps trouvent des excuses à nos terroristes de banlieue. Sur une échelle différente, certes, mais le fond du problème est le même. Deux poids, deux mesures selon la personnalité de celui qui commet le crime.

Le CDU suisse a l'honnêteté de ses idées et la clarté de ses propos, bien qu'ils soient largement déformés dans les médias. La bête noire n'a rien à voir avec la couleur de peau. S'il fallait se passer de toutes les inventions créées par des noirs, le monde serait bien triste. En revanche, il faut bien admettre que les inventions des musulmans ne permettent pas d'avancée significative ni dans la technologie, ni dans la sécurité, et encore moins dans les droits de l'homme.

Nous vivons dans un monde corrompu et plein de contradictions. Chacun essaie de tirer profit de la situation à son avantage personnel sans se soucier de l'intérêt de la communauté. L'homme est donc un animal nuisible, égoïste et pervers.

"Plus je connais les hommes, plus j'aime mon chien"

Tête de l'art