jeudi 5 juin 2008

Ce n'est qu'une question d'éducation

Je n'ai pas la prétention de détenir la vérité ni de vouloir imposer ma façon de vivre, mais je déplore de constater que les règles de bienséance se perdent au contact d'une certaine catégorie de la population. Au risque de me faire traiter de raciste, alors que mes choix amicaux et mon choix conjugal démontrent irréfutablement le contraire, je fais objectivement le constat suivant :

Au volant, je m'efforce de respecter le code de la route. Cependant, je m'autorise quelques écarts, faisant primer les règles de la courtoisie aux lois en vigueur : je cède par exemple volontiers la priorité en cas de bouchon ou pour permettre à un automobiliste de sortir de son garage, j'invite un piéton à traverser sur un passage clouté s'il attend sur le trottoir, etc.

Malgré cela, il m'arrive de rencontrer des automobilistes qui n'ont pas la même conception que moi des règles de bienséance et qui appliquent la loi : "moi d'abord". Huit fois sur dix, le conducteur est de type maghrébin (*). S'il ne l'est pas, ça se termine dans une majorité des cas pas un haussement d'épaules, parfois même par un sourire. S'il est de type maghrébin, son agression verbale est excessive et la discussion s'achève invariablement sur cette phrase prononcée par mon interlocuteur : "va te faire enculer". Suivant l'exemple de Michel Audiard qui disait "je parle pas aux cons, ça les instruit", je préfère donc passer mon chemin.

Cette agressivité exacerbée est le signe d'un manque d'arguments, d'une reconnaissance implicite de ses torts et d'un manque de civilisation. Pour les mêmes raisons et par analogie, lorsque mon chien voit passer le chat de mon voisin devant mon balcon, au vocabulaire près il a un comportement semblable. Quand au projet érotico-homo qu'il me propose, sont-ce les préférences sexuelles de ces individus qui influencent cette obsession de la sodomie ou le contraire ? A moins que cette pratique ne soit monnaie courante pour préserver l'hymen des jeunes filles jusqu'à leur mariage, dans le cas où le ministère public ne reconnaîtrait plus le droit d'annuler leur union pour cause de non-virginité.

(*) Il est à noter que la hausse du prix des carburants n'influe pas sur la proportion de conducteurs de cette catégorie socioprofessionnelle dite défavorisée. Nous sommes donc rassurés, les subventions de l'Etat Providence arrivent bien à destination.

Tête de l'art

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