mercredi 10 octobre 2007

Choisir l'école pour ses enfants

La carte scolaire a été remise en cause. C'est déjà un premier pas mais la mesure est insuffisante. Pourquoi ?

Dans les écoles des quartiers défavorisés, parmi les casseurs, les voleurs et les inadaptés à notre société, il y a des enfants, provenant de milieu défavorisé ou pas, qui apprennent bien en classe, qui ont d'excellents résultats scolaires et qui ont de réelles ambitions honnêtes. Ces enfants mériteraient d'être encouragés, encadrés et suivis avec une attention toute particulière.

Malheureusement, pendant que le corps enseignant est mobilisé sur les cas sensibles, faute de temps et de moyens, il consacre moins d'attention aux bons élèves. Bien que ceux-ci ne soient pas totalement délaissés, il leur est plus difficile de réussir dans une ZEP qu'à Neuilly. Pourquoi leur impose-t-on la cohabitation avec les éléments perturbateurs, avec les moqueries, les insultes, les agressions, voire le racket ou pire encore ?

Tous les parents, de milieu défavorisé ou non, qu'ils soient de gauche ou de droite et quelle que soit leur confession, souhaitent pour leurs enfants bons élèves les meilleures conditions dans les meilleurs établissements (parmi eux, l'imposteur Jamel Debouze, notre Ministre de la Justice, moi). Que celui qui prétend le contraire me jette la première pierre.

Dévoiler (si j'ose m'exprimer ainsi) l'origine ethnique des perturbateurs serait considéré comme politiquement incorrect par les associations dites antiracistes ; mais il faut bien admettre que l'origine et l'ethnie de ceux qui perturbent ne font aucun doute. Mais alors, Messieurs-Dames les nantis "bien-pensants" de gauche, vos valeurs ne s'appliquent donc pas à votre famille? Vous défendez bec et ongles le droit à l'invasion massive de populations en France en exigeant la régularisation des sans papiers et dès que leurs enfants vont côtoyer vos enfants, vous vous éloignez de ceux que vous prétendez défendre ? C'est de la lâcheté, c'est du mépris et c'est de l'hypocrisie. Aucun honneur ! Honte à vous !

Tête de l'art

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