dimanche 7 octobre 2007

Immigration et délinquance, deux mots tabous lorsqu'ils sont côte à côte

Le test ADN pour les candidats à l'immigration est un sujet qui fait couler beaucoup d'encre et de salive. Parmi eux, Philippe Val, qui avait eu le courage d'affronter les islamistes avec Charlie Hebdo. Mais on ne peut pas être et avoir été.

De nombreuses personnalités donc, de gauche comme de droite, y compris un récent ex-premier ministre de droite, la plupart nantis, s'engagent sur ce thème. Ils sont favorable à une immigration massive. Plus dans un désir de faire monter leur côte de popularité que dans un élan de solidarité, ils débattent avec des arguments peu convaincants.

Il est politiquement incorrect de lier immigration et délinquance. Il est indécent de préciser l'origine ethnique des prisonniers. Dire que les terroristes islamistes sont musulmans relève de la plus abjecte insolence. Et pourtant les faits sont là. Gardons-nous bien de penser que tous les immigrés de première ou de nième génération sont délinquants, mais il faut bien admettre que 80% des délinquants actuels, sous les verrous ou "présumés coupables" sont issus de l'immigration. Maîtriser l'immigration est donc un moyen pertinent pour lutter contre la délinquance.

L'intégration a un coût qui est supporté par le contribuable. Je mène une vie modeste, issu d'une famille modeste. J'ai acheté ma modeste maison à crédit dans une banlieue défavorisée. Je paye en taxe d'habitation et taxe locale la moitié d'un SMIC annuel. Cette somme permet de financer des infrastructures qui sont détruites par des délinquants puis refinancées par mes re-soins pour être reconstruites. Voilà le sort réservé aux honnêtes gens. Les délinquants, eux, bénéficient de subventions, d'aides diverses accordées par le système français et financées par mes re-re-soins. Exemple l'imam de Venissieux, qui selon le journal Lyon Mag percevait (avant son expulsion pour ses propos sur les violences conjugales préconisées dans le coran) l'équivalent de 8000€ par mois, grâce à ses quatorze enfants et ses quatre femmes dont trois illégitimes. Voilà un exemple de ce que le citoyen français de souche finance, lui qui a en moyenne moins de deux enfants.

Aujourd'hui une justice plus sévère montre timidement le bout de son nez : la double peine, une évidence incontestable, est critiquée par bon nombre de personnalités. Je me doute bien que ces personnalités ne côtoient pas au quotidien dans les banlieues les indésirables que j'y rencontre tous les jours. Si c'était le cas, sans doute changeraient-elles d'avis !

Tête de l'art

1 commentaire:

Anonyme a dit…

c'est article est empreint du plus élementaire bon sens, et certains devraient s'en inspirer un peu, avant de prendre des positions ridicules, dénouées de toute logique et surtout contraires à l'intelligence.